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mon roman...

29 septembre 2006

Chapitre 2

Pauline criait toujours dans la voiture tandis que la mère grillait les feux rouges. La petite fille se tenait le visage ensanglanté dans une serviette de bains. La voiture roula jusqu'à la nuit tombante. Mme Titi aurait roulé jusqu'à la panne d'escence si elle avait pu.

Elles s'arrêtèrent dans une ferme du massif central qui semblait les attendre à bras ouverts. Il fesait sombre et froid mais rien ne pouvait les décourager d'entrer dans cette ferme, tant elle étaient fatiguées. Elles avaient roulé tellement longtemps sur des petites routes de campagnes, elle se sentaient tellement éloignées de tout, que cette endroit dégageait un sentiment de sécurité certain.

La maitresse de maison qui y vivait dailleurs seule, les accueuilli très chaleureusement. Mme Titi inventa une histoire grossière pour se faire accepter, mais la femme n'écoutant que d'une oreille ne s'inquiétait pas de savoir si ses hôtes étaient des meurtrières. Elle n'avait d'invités que très rarement; alors en plus ebergé une petite fille qu'elle n'avait jamais pu avoir, cela était pour elle, un très beau cadeau.

-" Nous avons eu un accident de voiture, et ma fille s'est brulé le visage. Elle souffrait tellement que j'ai décidé de voler une autre voiture pour l'emmener à l'hopital le plus proche. Mais nous nous sommes perdu alors nous voici. S'il vous plaît, n'appelez ni la police, ni les urgences, car il me recherche peut-être déjà puor la voiture volée."

Expliqua du mieux qu'elle pu la mère.

La vieille paysane soignait avec soin le visage de la petite, pendant que la mère regardait les informations à la télé, s'inquiétant de voir sa photo apparaitre à l'écran; mais ce ne fut pas le cas.

La soupe sentait bon dans la cuisine, on se mit à table.

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28 septembre 2006

Chapitre 1

Le repas de midi enfin achevé, Mme Titi se leva de sa chaise, un pain à moitié mangé dans une main et une bouteille d'eau dans l'autre. Sa fille, plus grande sur sa chaise qu'une fois sur ses pieds, les yeux à la hauteur du dessus délavé de la nappe, empoingna le manche d'une casserole entre ses deux petites mains et l' emmena dans la cuisine pour le seul plaisir d'entendre sa mère lui faire remarquer que maintenant c'est une grande fille. Une fois les deux assiètes dans le lave-vaisselle et les serviettes rangées au fond d'un tirroir, la maman dit à sa petite fille:

-"Aujourd'hui, on est dimanche! Alors direction la maison de retraite! Mamie va être contente de te voir!"

-"Oui! Mais tu te rappelle, la dernière fois je lui avait dis que je lui ferais un gâteau."

Répondit la petite Pauline d'un air desespérée.

La mère, un peu embêtée, se dirigea vers l'arrière cuisine et énuméra tout ce dont elles auraient besoin en sortant les ingrédients un par un.

  Elles se mirent à mélanger la farine avec le beurre et à faire bouillir le lait, quand on frappa à la porte. Mme Titi en alla ouvrir, se demandant bien qui ça puisse être. Elle n'avait reçu personne depuis le départ de son compagnon, en fait, depuis la naissance de sa fille. Elle ne voyait plus ses copines, n'avait plus de connaissances, plus personne à qui se confier, à qui parler. Elle sortait tout juste d'une longue et triste depression. La naissance de sa fille, il y a quatre ans, l'avait aidait à reprendre gout à la vie mais ne l'avait pas pour autant redonnait envie de sortir.

  Elle ouvrit la porte et tomba sur un homme qu'elle n'avait jamais vu. Il était bien habillé, en costume, et de la couleur du visage de Mme Titi, on pouvait voir qu'il lui plaisait. Il commença à lui parler de volets. Il lui expliquait qu'il était vendeur dans une entreprise qui fabriquait des volets en aluminium. Elle, ne l'écoutais même pas; elle le regardait droit dans les yeux et souriait sans se forcer. Mme Titi était une femme attirante malgré sa garde robe démodée. Elle avait le visage frais, jeune. C'est sûrement aussi pourquoi la discution se transforma vite en une espèce de conversation entre amis. Après avoir parlé de la pluie et du beau temps, il y eut les échanges de numéros de téléphone quand on cria dans la cuisine:

-"Maman!"

Puis des pleures. La femme se précipitat dans la cuisine et vis la casserole de lait renversée sa fille par-terre, les mains sur son visage. Pauline criait de douleur jusqu'à en interpeler un policier qui était dans la rue. La femme porta le visage de sa fille sous le robinet d'eau froide, tandis que le vendeur de volet expliquait à travers tous ces cris ce qui avait pu se passer au policier. Ce dernier decida d'aller appeler le samu à partir de la sibbie de sa voiture. Mme Titi folle de rage après cet homme qui l'avait fait s'absenter pendant l'accident, par reflexe, par instint, n'étant plus elle-même pendant un moment, pris le premier couteau quelle trouva sous sa main...

-"Non! Madame vous êtes devenue folle! Non!"

Elle lui enfonça le couteau dans la poitrine.

s'étant aperçu de cette triste réalité, de ce qui venait de se passer, elle prit sa petite fille dans ses bras, courru prendre son sac à main, puis elle courra vers l'exterieur, croisa le policier, les yeux dans le vague.

-"Mais Madame! Où allez-vous?!"

Cria le policier, puis il entra dans la maison et vit le corp gisant sur le sol. Il courru dehors, mais Mme Titi avait disparu au loin au volant de sa voiture. Il appella immédiatement ses supérieurs, et, aussitôt, toutes les forces de police de la ville étaient mobilisées pour la retrouver.

23 septembre 2006

Instinct Maternel (résumé)

          Après un accident indirectement causé par un inconnu à sa fille, une mère comet une grave erreur, puis s'enfuit avec sa fille. Recherchées par la police, elles se réfugient où elles peuvent.

           Arriveront-elles à echapper à ces forces?

          

      

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